samedi 24 décembre 2011

L'horreur américaine: Irak totalement détruit par l'invasion ET l'occupation - Le blog d' Eva, R-sistons à la crise


L'heure des bilans en Irak
: l’évacuation, ce dimanche 18 décembre, du dernier convoi de GI’s marque la fin de l’aventure américaine en Irak. L’invasion du pays, en mars 2003, sous le prétexte (mensonger) de l’existence d’armes de destruction massive, suivie d’une chute-éclair du régime de Saddam Hussein, avait débouché sur une guerre contre-insurrectionnelle de plus de huit ans, dont le coût humain et financier a été dément… (1)

L'Irak totalement détruit par l'invasion et l'occupation

« C'est avec une grande fierté - et une fierté durable - que vous quitterez ce pays d'entre les fleuves », a déclaré le ministre américain de la Défense, Leon Panetta, à l'adresse de ses soldats lors de la cérémonie d'adieu qui s'est déroulée à Bagdad le 15 décembre 2011. Et Panetta, ancien patron de la CIA, d'ajouter que « la guerre en Irak a bien valu son coût énorme en sang et en argent ». Un récapitulatif s'impose.
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Au moins 31 pour 100 du million cinq cent mille soldats environ qui rentrent de la guerre en Irak souffrent de dépression ou de trouble de stress post-traumatique, lesquels influencent de façon très négative leur travail, leurs relations et leur existence familiale. C'est ce que révèle une étude réalisée par des chercheurs de l'armée américaine. Tant en 2009 qu'en 2010, un plus grand nombre de soldats américains sont morts de suicide que lors des combats.
Cela en valait-il vraiment la peine ?


Le déclin de l'empire américain

Le 18 mars 2003, ECAAR (EConomists Allied for Arms Reduction - Économistes unis pour la limitation des armements) rédigeait un pamphlet contre le déclenchement d'une guerre unilatérale en Irak. Le texte était signé par plus de deux cents économistes américains, dont sept lauréats du prix Nobel et deux anciens présidents du Comité des conseillers économiques de la Maison-Blanche. Ce texte constituait la base d'une annonce publiée dans le Wall Street Journal. En voici quelques extraits :
« En tant qu'économistes américains, nous nous opposons à une guerre unilatérale contre l'Irak que nous considérons comme inutile et néfaste pour la sécurité et l'économie des États-Unis et de l'ensemble de la communauté mondiale. »
« (...) Nous doutons que la guerre serve la sécurité et qu'elle n'accroisse le risque d'instabilité future et de terrorisme. Nous pressentons clairement l'immédiate tragédie humaine et les destructions de la guerre, ainsi que la potentialité de dégâts économiques graves pour notre nation et le monde entier. »
« (...) Nous ne croyons pas que cette guerre soit nécessaire pour la sécurité nationale des États-Unis. Une économie saine est nécessaire pour la sécurité des États-Unis et le développement économique pacifique du reste du monde. »
La guerre contre l'Irak est la cause de la crise économique

Cette explication donne une image douloureusement précise de ce qui allait suivre : Cette guerre a plongé les États-Unis et le reste du monde dans une crise économique et elle a indiqué clairement les limites de la puissance américaine. La résistance irakienne contre l'occupation est coresponsable du déclin de l'Amérique tel qu'il fut prédit en 2004 : « Nous figerons les occupants ici en Irak, épuiserons leurs moyens et effectifs et briserons leur volonté de combattre. Nous les obligerons à investir autant qu'ils pourront voler, si pas plus. Nous perturberons le flux du pétrole volé, puis l'arrêterons de sorte que leurs plans deviendront inutiles. »

Le lauréat du prix Nobel Joseph Stiglitz a calculé le prix de la guerre

Joseph E. Stiglitz, lauréat du prix Nobel et l'un des signataires de la déclaration susmentionnée, a calculé les coûts de la guerre en Irak dans son ouvrage paru en 2008, The Three Trillion Dollar War (La guerre à trois mille milliards de dollars). Il conclut : « Il n'existe pas de déjeuner gratuit, pas plus qu'il n'existe de guerre gratuite. L'aventure irakienne a gravement affaibli l'économie américaine et la misère va bien plus loin que la crise des hypothèques. On ne peut dépenser3.000 milliards de dollars - oui, 3.000 milliards de dollars - dans une guerre ratée à l'étranger sans en ressentir la douleur dans son propre pays. »

Stiglitz décrit ce qu'on pourrait payer avec ces milliards de dollars : 8 millions d'habitations ou 15 millions d'enseignants, les soins de santé pour 530 millions d'enfants pendant un an, des bourses universitaires pour 43 millions d'étudiants. Ces 3.000 milliards de dollars résoudraient le problème de la sécurité sociale de l'Amérique pour un demi-siècle.

En ce moment, dit Stiglitz, l'Amérique consacré 5 milliards de dollars par an à l'Afrique et se fait du mouron parce qu'elle est sur le point d'y être supplantée par la Chine : « Cinq milliards de dollars, cela représente en gros 10 jours de guerre. Cela vous donne une idée du gaspillage de moyens ! »

Cela s'aggrave encore

« Maintenant que les États-Unis vont mettre un terme à la guerre en Irak, il s'avère que notre estimation de 3.000 milliards de dollars (couvrant aussi bien les dépenses publiques pour la guerre que l'impact plus large sur l'économie américaine) était bien trop basse. Ainsi, les coûts du diagnostic, du traitement et des compensation des vétérans handicapés se sont révélés plus élevés que nous ne nous y étions attendus », écrivait Joseph Stiglitz le 3 septembre 2010 dans The Washington Post.

Encore plus dramatiques sont les conséquences pour le Moyen-Orient même. Un rapport publié par le Strategic Foresight Group en Inde, dans un ouvrage intitulé Les coûts du conflit au Moyen-Orient, a calculé que, ces vingt dernières années, les conflits dans la région ont coûté aux pays et aux habitants 12.000 milliards de dollars (!). Le rapport indien ajoute que le Moyen-Orient « a consacré un montant record aux dépenses militaires des vingt dernières années et qu'il est considéré comme la région la plus armée du monde ».

Imaginez que ce montant soit consacré au développement des régions rurales et des infrastructures urbaines, des barrages et des réservoirs, de la désalinisation et de l'irrigation, du reboisement et des pêcheries, de l'industrie et de l'agriculture, de la médecine et de la santé publique, du logement et des technologies de l'information, des emplois, de l'intégration équitable des villes et des villages et aux réparations des dégâts de la guerre au lieu de produire des armes qui ne sèment que la destruction.

Les conséquences dramatiques de la prétendue « démocratie florissante » pour l'Irak

L'argent de la guerre du contribuable américain a non seulement ruiné l'économie américaine et plongé le reste du monde dans une crise économique, il a aussi anéanti une nation souveraine qui ne souhaitait aucunement faire partie du « Nouvel Ordre mondial ». La situation dramatique qui règne en Irak dément de façon criarde les échos positifs du « progrès en Irak » tel que le présentent les mass media.

Pour le contrôle de la perception par l'Américain moyen de la guerre en Irak, le ministère de la Défense a payé à des entrepreneurs privés américains jusqu'à 300 millions de dollars dans les années 2009-2011 pour la production d'informations et de programmes de distraction dans les médias irakiens et ce, dans une tentative de présenter une image sympathique à la population locale afin que celle-ci soutienne les objectifs américains et le gouvernement irakien.

La désinformation, une arme stratégique de la guerre

« Cette année, les dépenses en public relations du Pentagone censées 'rallier les cœurs et les esprits' tant au pays qu'à l'extérieur, s'élèveront à 4,7 milliards de dollars au moins », communiquait en 2009 la Fondation Nieman pour le journalisme à l'Université de Harvard, se demandant où se situe exactement la frontière entre information et propagande.

Le public n'est pas censé être mis au courant de tous les méfaits de la machine de guerre américaine et la désinformation se diffuse à grande échelle pour être avidement reprise par un appareil médiatique ami.

« Il est essentiel aussi essentiel pour le succès du nouveau gouvernement irakien et pour les troupes américaines de communiquer efficacement avec notre public stratégique (c'est-à-dire le public irakien, panarabe, international et américain) que de recevoir un large soutien dans nos thèmes centraux et nos informations », disait l'annonce de recrutement d'une équipe de 12 entrepreneurs civils en Irak.

Une catastrophe humanitaire encore jamais vue

Le haut commissaire des Nations unies pour les réfugiés (UNHCR), António Guterres, a constaté que la guerre de l'Irak est le conflit le plus retentissant au monde, mais également la crise humanitaire la moins connue. Examinons donc quelques-uns des « résultats » destructeurs de cette guerre et de cette occupation de ce même Irak que l'élite américaine qualifie de « démocratie florissante » :
-1,45 million de victimes. Le nombre est choquant et dégrise. Il est au moins dix fois plus élevé que la plupart des estimations citées dans les médias américains, mais il s'appuie sur une étude scientifique portant sur les morts irakiens par violence suite à l'invasion de mars 2003 dirigée par les États-Unis ;
- la mortalité infantile irakienne a augmenté de 150 pour 100 depuis 1990, lorsque, pour la première fois, les Nations unies ont imposé des sanctions ;
- en 2008, 50 pour 100 seulement des enfants en âge de fréquenter l'école primaire allaient en classe, contre 80 pour 100 en 2005 ;
- en 2007, l'Irak comptait 5 millions d'orphelins, selon les statistiques officielles du gouvernement ;
- l'Irak compte entre 1 et 2 millions de veuves ;
- d'après des chiffres de l'UNHCR, il y a 2,7 millions d'Irakiens expatriés et 2,2 millions de réfugiés, surtout dans les pays voisins. Un Irakien sur six a quitté son pays. Le Croissant-Rouge irakien estime que plus de 83 pour 100 des expatriés irakiens sont des femmes et des enfants, dont la majorité de moins de 12 ans ;
-on estime que 8 millions d'Irakiens ont besoin d'aide humanitaire ;
- 70 pour 100 des Irakiens n'ont pas accès à l'eau potable. Le taux de chômage est officiellement de 50 pour 100 et, officieusement, de 70 pour 100. 43 pour 100 des Irakiens vivent dans une pauvreté profonde. 4 millions de personnes souffrent d'un manque de nourriture. 80 pour 100 des Irakiens n'ont pas accès à des équipements sanitaires décents ;
- 60 pour 100 seulement des 4 millions de personnes dépendant de l'aide alimentaire ont accès aux rations distribuées par le Système de distribution publique (PDS) contre 96 pour 100 en 2004 ;
- l'Irak n'a plus d'argent pour le paiement des indemnités aux veuves, les plantes servant dans l'agriculture et autres programmes pour les pauvres, a déclaré le président du Parlement, le 21 novembre 2010, et ce dans une des nations les plus riches en pétrole de la terre ;
- diverses minorités confessionnelles irakiennes (chaldéens, orthodoxes syriens, chrétiens assyriens et arméniens, communautés yezidi et mandéennes) courent le risque d'être éradiquées parce qu'elles sont confrontées à des niveaux inouïs de violence, d'après un rapport de Minority Rights Group International ;
- d'après un rapport d'Oxfam, 33 pour 100 des femmes n'ont pas reçu la moindre aide humanitaire depuis 2003 ; 76 pour 100 des veuves n'avaient pas reçu la moindre pension ; 52 pour 100 étaient au chômage ; 55 pour 100 s'étaient expatriées depuis 2003 et 55 pour 100 avaient été victimes de violence(s) ;
- des années d'instabilité et de guerre ont fait qu'entre un et deux millions de femmes sont chefs de famille (FHoH) en Irak : veuves, divorcées et soignante de leur époux malade. À peine 2 pour 100 de ces femmes chefs de famille travaillent régulièrement, selon l'Organisation internationale de la migration (OIM).
Prendre la vie à des personnes innocentes est devenu une composante de la vie quotidienne.

Source originale : De wereld morgen

Traduit du néerlandais par Jean-Marie Flémal pour Investig'Action
Source: Investig'action

dimanche 18 décembre 2011

Les agences de notation ne sont qu’UN INSTRUMENT du cartel bancaire pour obtenir la “bonne crise majeure” « L.I.E.S.I.

« La présente fenêtre d’opportunité, durant laquelle un ordre mondial pacifique et interdépendant peut-être construit, ne sera pas ouverte pour très longtemps. Nous sommes à l’orée d’une transformation globaleTout ce dont nous avons besoin est une crise majeure appropriée, et les nations accepteront le Nouvel Ordre Mondial.»
David Rockefeller, 23 septembre 1994.
Cette “transformation globale” et “la crise appropriée” ont bien un rapport avec le scénario joué actuellement par des banquiers internationaux, agissant derrière des ORGANISMES et des POLITICIENS véreux.
« Une agence de notation est un organisme indépendant qui fournit à ses clients (les investisseurs, les analystes, les marchés, etc.) une évaluation d’une entreprise, d’une institution financière, d’un pays. Cette évaluation porte sur les risques qu’un investisseur pourrait courir en investissant dans l’entreprise, l’institution financière ou le pays concerné.
La première organisation centrée sur l’évaluation sociale des entreprises est l’Investor Responsability Research Center fondé aux Etats-Unis en 1972… IRCC était financée par des fondations comme Ford,Rockefeller et Carnegie. Ses premiers clients étaient les fonds d’investissement de grandes universités américaines ». (Extrait de l’ouvrage L’émergence des risques : au travail, par Jean-Marie Mur.)
« Quelques-uns croient même que nous (la famille Rockefeller) faisons partie d’une cabale secrète travaillant contre les meilleurs intérêts des Etats-Unis, caractérisant ma famille et moi en tant d’internationalistes et conspirant avec d’autres autour de la Terre pour construire une politique globale plus intégrée ainsi qu’une structure économique – un seul monde si vous voulez. Si cela est l’accusation, je suis coupable et fier de l’être. » David Rockefeller, Mémoires, éd. Random House, 1st Trade Ed edition (ISBN 978-0679405887), 15 octobre 2002, p. 405.
Qu’ont fait les agences de notation dans le passé? Elles ont très bien noté des organismes, des entreprises et des banques, sans oublier la Grèce, juste avant le clash.On se souviendra de Permalat, Lehman, le fonds LTCM, etc., très bine noté avant leur crash. Les agences de notation n’avaient rien vu. Scénario identique pour les subprimes. Personne n’a rien vu et dès 2004, une source de LIESI fréquentant le cercle de relations de Greenspan (président de la Banque centrale américaine), nous confiait un scénario dont nous avions parlé dans LIESI ou autres publications.
Nous affirmons bien: les agences de notation sont un instrument du cartel bancaire pour imposer un scénario de rupture, annoncé par exemple, et comme chacun sait, par un David Rockefeller en septembre 1994.Trader Noé a raison d’affirmer que la crise n’a pas encore commencé, même si les médias en parlent de plus en plus. Nous sommes à l’étape du conditionnement des foules. Il suffit de se promener devant les kiosques depuis quelques mois. On voit des titres qui, hier, étaient taxés de “complotistes”.

Complicités entre agences de notation et équipes gouvernementales

Mais revenons à un parallèle intéressant entre les agences de notation et les gouvernements. Tant les conseillers économiques des équipes gouvernementales que les employés des agences de notation sortent des MEMES ECOLESLes uns faisaient de la dette tandis que les autres, dans le même temps, ne voyaient aucun dangerAujourd’hui, les premiers sortent des plans d’austérité qui vont tuer la consommation et les recettes fiscales ; les autres enfoncent et dégradent afin d’amplifier le désastre. Entendez-bien : ils sortent des MEMES ECOLES et leurs actions vont précisément dans le sens voulu de ceux qui rêvent d’un gouvernement mondial. Ces mêmes financiers à l’origine de la RÉVOLUTION BOLCHEVIQUE.
L’équipe de Denissto prépare une démonstration convaincante sur le sujet. Nous leur laissons le temps de préparer une petite vidéo très intéressante. Le synopsis est savoureux. En fait, les familles qui tiennent, via différents paravents, ces maisons “prestigieuses” (agences de notation), se retrouvent parfois même à l’origine de la création du mouvement fabien, dont on a déjà eu l’occasion de parler et que d’aucuns, parmi d’excellents commentaires, ont apporté moultes éléments très formateurs sur le sujet.
Hier, ces mêmes agences de notation se plantaient lamentablement dans leurs analyses et aujourd’hui, elles en font trop, elles brillent sur leurs anticipations. Un peu trop facile. Hier, il fallait laisser le piège s’entrouvrir au maximum et maintenant, il s’agit d’enfoncer le pauvre citoyen bien profondément dans la misère. Car c’est bien cela leur plan. La ruine du plus grand nombre et la préparation d’une société sans classe moyenne, c’est-à-dire le modèle ROUGE.
Pour revenir aux propos de M. Six, il dit des choses qui, en français, sont assez claires. Il annonce une prochaine tempête bancaire contre l’Allemagne, via quelques banques “peu solides”. Christian de Boissieu, président du Conseil d’Analyse Economique, est plus délicat, mais il dit aussi que les Allemands doivent plier aux exigences qu’impose le déroulement de la crise dans la zone euro.
Voici quelques extraits de son intervention sur BFM, il y a quelques jours :
« Moi je suis persuadé que l’on va en 2012 vers un rôle accu de la BCE. Simplement l’Allemagne n’était pas prête à l’accepter vendredi.
C’est la contrepartie de ce qu’elle a obtenu sur le plan budgétaire et ce sera obtenu dans la durée je pense en 2012.
Et je pense aussi que le débat sur les eurobonds (mutualisation, moi je dis partielle, des dettes en Europe) qui donne l’impression d’avoir été clos vendredi est un débat qui se rouvrira. Ce n’est pas fini. Moi je pense que la position allemande n’est pas figée.
[…]  Et je répète que tout cela c’est l’absolu et le relatif : quand on regarde la situation d’un certain nombre de banques en Europe. Regardez ce qu’on dit sur Commerzbank en Allemagne. Moi je ne veux que du bien à l’Allemagne. Mais quand on dit que Commerzbank va être nationalisée. Je n’en sais rien. Mais arrêtons de faire une fixette sur les banques françaises parce que toutes les banques vont faire un ajustement plus ou moins petit ou plus ou moins grand pour arriver à 9 % de fonds propres durs en juin 2012 ».

De la suite dans les idées

Quand les CDS des pays notés AAA vont s’envoler, on incriminera les agences de notation. Peu importe, elles auront fait leur boulot. Après, c’est-à-dire dans quelques mois, quand les marchés auront sérieusement descendu quelques marches, on incriminera la bourse et le conditionnement se fera pour légitimer sa fermeture dans certains pays européens. (Pas à Wall Street !) Quand cela arrivera, actions papier et immobilier ne seront pas à la fête. Ce sera un PUR HASARD.
Un hasard qui rappellera le programme annoncé par James Paul Warburg (1896-1969), dans un discours prononcé au Sénat des États-Unis, le 7 février 1950. « Nous aurons un gouvernement mondial, que nous le voulions ou non. La seule question est à savoir si le Gouvernement Mondial sera instauré par l’adhésion, ou par la conquête. »
James Paul Warburg a été officier de l’OSS et membre du CFR (dont sont issus quasiment TOUS les secrétaires d’Etat occupant le poste équivalent de ministre des Affaires étrangères).