mercredi 5 février 2014

PROPOSITIONS POUR les municipales de Marseille

Les municipales arrivent à grand pas ... 



7 PROPOSITIONS POUR aimer Marseille.


Ce sont des priorités concrètes et symboliques tout à la fois, qui parlent à tous les marseillais, et qui comme par hasard, sont "oubliées" des politiques ; 
ces mesures sont peu coûteuses, et surtout très utiles :


                    Nous voulons des bancs publics pour Marseille !


Implanter - réimplanter - massivement des bancs publics dans tout l'espace public marseillais.

Implanter - réimplanter - massivement des toilettes publiques dans tout l'espace public marseillais.

Verdir et planter (agriculture urbaine, jardins) partout ou cela est possible, et en particulier sur l'espace rénové du vieux port,en excluant l'option "tout minéral". Accompagner les initiatives citoyennes
qui vont dans ce sens, (pots de plantes/arbustes le long des immeubles).

Établir des maisons de la "préventions santé/conseils en nutrition saine" dans tous les quartiers, co-animées par des acteurs de santé conventionnels
(médecins/infirmières) et professionnels des médecines douces.

Créer un conseil des anciens consultatif, dans chaque quartier.

Organiser une libre et large expression "tags et graffitis", réprimer plus efficacement les autres, dégradantes et laides (et chères ..), les jeunes tagers seraient consultés.

Créer une maison municipale (ou dans chaque quartier) du déplacement urbain, économique, écologique et sain (promotion des Transports Collectifs, vélos, et co voiturage, déplacements à pied) .



Patrice ALBERT

https://secure.avaaz.org/fr/petition/Tous_les_candidats_a_la_mairie_de_Marseille_Nous_voulons_des_bancs_publics_pour_Marseille/?copy

vendredi 20 décembre 2013

Procès Areva/Observatoire du nucléaire : gros soupçons de corruptions !

Procès Areva/Observatoire du nucléaire, aujourd'hui.


Brisons le silence des médias et de la plupart des politiques.

Soutien du Parti de Gauche, du NPA ... silence assourdissant d'EELV !


Nous savons bien sur que l'UMP et le PS sont pro-nucléaires,

mais aussi le FN ! 

Tous ceux qui se taisent sont sous cette meme bannière de la compromission coupable.
Ce n'est pas un sujet secondaire comme le prétend François Asselineau et d'autres.

L'industrie nucléaire est une source inouïe de corruptions aux plus hauts
niveaux des états et des grands groupes industriels, elle n'assure aucunement
notre indépendance énergétique.


C'est ce qu'on tente de nous cacher !







Vendredi 20 décembre, Stéphane Lhomme, animateur de l’Observatoire du nucléaire sera confronté au Tribunal de grande instance de Paris à la compagnie Areva, qui l’a assigné en justice. Areva estime que l’accusation de corruption de l’Etat nigérien - versement de 35 millions d’euros - que porte contre elle M. Lhomme est infondée et le poursuit pour diffamation.



                                                



                                                Revue de presse .

Politis : http://www.politis.fr/Les-17-milliards-de-CFA-d-Areva-au,25015.html
Les 17 milliards de CFA d'Areva au Niger ont bien payé l'avion présidentiel !

Agence France Presse : http://bit.ly/1bRV0Qe

Areva au Niger: une ONG poursuivie pour diffamation réitère ses accusations de corruption
Reporterre :  http://www.reporterre.net/spip.php?article5187

Areva a-t-elle offert un avion au président du Niger ? L'Observatoire du nucléaire publie de forts indices

Agoravox : http://bit.ly/IXyBuy
Le bruit du silence

dimanche 15 décembre 2013

Intervention de la France en Centrafrique : odeur de pétrole et d'uranium

VIDEO. Que fait vraiment la France en Centrafrique ? 

Publié le déc 14, 2013 @ 20:12

centrafriqueEnfin, pas la France en tant que telle car l’opération centrafricaine n’a rien à voir avec l’ingérence française au Mali, feu de forêt déclenché suite au lynchage de Kadhafi et éteint (enfin, à court terme) par les principaux commanditaires de ce lynchage. Pourquoi ? La sécurité de la France, disait-on alors, était en jeu. Et c’était parfaitement vrai. Qu’aurait fait notre pays, une puissance méditerranéenne, si le nord du Mali s’était transformé en un immense réservoir à islamistes ?
Quid du Centrafrique ? Deux points de vue s’imposent. L’un, privilégiant la thèse de l’ingérence humanitaire, tiré de la liste des fabuleux oxymores du champ médiatique français. L’autre, plus désagréable, plus cynique, plus dégoûtant et, hélas, en beaucoup plus réaliste, qui renvoie à la vieille histoire de l’uranium centrafricain. Souvenez-vous de la réaction du gouvernement de Bozizé en 2007 lorsque le groupe nucléaire français Areva reprit l’exploitation de la mine d’uranium de Bakouma (extrême-est du pays). Cette opération avait alors été jugée irrégulière et contraire aux intérêts du peuple centrafricain (cf. rapport d’Aurélien-Simplice Zingas, porte-parole du gouvernement à l’époque). D’anciennes accusations ressurgirent aussitôt qui sous-entendaient l’implication de la partie française dans la contamination radioactive des populations locales. Bakouma y aurait été particulièrement exposé suite entre autres aux manipulations de la société Cogema dans les années 70. Idem pour le Gabon et le Niger suite aux activités d’Areva. Ici et là, la France ne perd pas une seule occasion d’asseoir sa présence souvent au détriment des intérêts du pays, jusqu’à oublier que le Centrafrique a acquis son indépendance il y a déjà cinquante-cinq ans.
Voici pour une première tendance. Passons aux faits révélateurs. Je me permettrai ici de reprendre l’analyse aussi laconique que convaincante de Mme Wissem Chekatt.
Primo, la SELEKA qui a renversé le Président Bozizé en mars 2013, organisation hétéroclite composée de partis oppositionnaires et de militants islamistes, avait été, ne l’oublions pas, soutenue par la France. Or, que voit-on aujourd’hui ? Bien que dissoute par Michel Djotodia, chef d’état arrivé au pouvoir suite à un véritable putsch, la SELEKA continue à exister illégalement du moment où les extrémistes qui en faisaient partie cherchent noise à une population majoritairement chrétienne. Cette fois, la France prétend les combattre. La tactique de l’instrumentalisation est ici claire et nette.
Secundo, nous savons que la France a parachuté sur les lieux un effectif de 1600 militaires. Ce chiffre semble bien disproportionné pour ne pas dire dérisoire si l’on croit aux décomptes de M. Souleymane Diabaté, représentant de l’UNICEF à Bangui, qui a estimé le nombre de déplacés sur le territoire à près de 500.000 centrafricains. Un demi-million de personnes. N’y aurait-il pas une certaine confusion avec la catastrophe syrienne ? On se demande comment des tensions en réalité tribales ont pu conduire à un exode aussi massif.
Tertio, la population centrafricaine est majoritairement chrétienne. Michel Djotodia est quant à lui musulman, ce qui explique son accession au pouvoir par l’intercession de la SELIKA, coalition d’ailleurs à la base plus islamiste que musulmane. A ses meilleures heures, elles comptaient 15.000 membres. Elle en a perdu un nombre considérable après sa dissolution. Or, le nombre d’habitants en Centrafrique est grosso modo de 4 millions d’habitants, ce qui est très peu pour un territoire presque aussi grand que la France, et en même temps suffisant pour faire face aux restes d’une opposition démantelée.
Quand ça ne colle pas, ça ne colle pas, quoiqu’on fasse pour redorer son blason en accordant quelques notes de crédibilité à une donne que l’on veut assimiler en certains points aux génocides confessionnels perpétrés en Syrie ou, à bien moindre échelle, au Mali.
En fait, si l’on sait que la Chine est très présente sur le territoire et que sa politique est loin d’être aussi agressive que celle de la France au point de porter atteinte aux intérêts géopolitiques de notre pays, que, une fois de plus, les ressources naturelles sont en ligne de mire, les hauts motifs soi-disant humanitaires invoqués perdent immédiatement de leur sens. Une fois de plus, M. Hollande débite un baratin en somme habituel quand il s’agit de justifier le genre d’opérations en question.
Ce point de vue est conforté par l’analyse d’Allain Jules, journaliste indépendant, bloggeur dont la lucidité est telle qu’il n’a plus à faire ses preuves. Voici un bref extrait de son intervention.
Allain Jules. « De quoi s’agit-il dans cette intervention ? En réalité, ce n’est déjà pas une intervention humanitaire, cette dernière notion n’ayant aucun sens. Il s’agit tout simplement pour la France d’aller sécuriser le pétrole par rapport à Total et surtout d’aller sécuriser, par l’entremise d’Areva, le gisement d’uranium de Bakouma. Donc en fait c’est pour le gisement qui est situé à l’extrême-est du pays, dans la préfecture de Mbomou, le plus grand gisement africain d’uranium estimé à 700.000 tonnes, que toute cette opération a été lancée. Areva a racheté la société canadienne UraMin d’exploration d’uranium, ce qui explique le renforcement de la présence française sur le territoire centrafricain. Naturellement, toute cette campagne n’a pas été déployée pour les beaux yeux des autochtones. C’est encore un gros mensonge médiatique destiné à masquer les véritables intentions de la partie française qui consistent à contrôler plus efficacement que jamais son uranium et son pétrole. Donc, quand on dit que des militaires français sont morts pour la France, ça tient forcément la route puisqu’ils sont allés en Centrafrique au nom des intérêts géopolitiques de la France, c’est tout ».
Commentaire de l’auteur. L’immersion du pays dans un chaos qui n’a aucune raison objective d’être arrangera peut-être la France à court ou moyen terme. Mais qu’en est-il de la suite ? N’aura-t-elle pas à payer une note un peu trop salée au cas où les groupuscules islamistes rôdant aussi bien au cœur du territoire qu’à ses frontières (Congo-Brazzaville) monteront en puissance, profitant de la déstabilisation du pays ? Hélas, l’exemple de la Libye, précurseur du Mali, n’a rien appris à certaines élites françaises dont les complexes néo-colonialistes semblent irréversibles.

Vidéo Allain Jules, journaliste indépendant : http://www.dailymotion.com/video/x18erqh_allain-jules-sur-la-voix-de-la-russie-que-fait-vraiment-la-france-en-centrafrique_news


mardi 19 novembre 2013

Mystère des filaments tombés du ciel en Drôme-Ardèche

L'Express, France Bleu, le Dauphiné, s'interrogent ...


On les voit, on les touche, on les analyse, mais on continue de nier leur existence ! 


Ne surtout pas alimenter les théories du complot !

Ces filaments ne sont pas d'origine naturelle, mais font suite à des épandages

 aériens  :

 Fibres polymères, phtalates, strontium, aluminium, baryum, autant de cristaux extrêmement nuisibles a la santé....Ce ne sont pas des poisons violents, non. mais des poisons sûrs, à long terme. Pourquoi sont-ils là? c'est une autre histoire...Mais ils sont bien là! Renseignez-vous.

les analyses du laboratoire ANALYTIKA !  http://www.labo-analytika.com/documen...


Pour France Bleu ... pas de panique, de simples toiles d'araignée http://www.francebleu.fr/infos/des-toiles-d-araignees-tombees-du-ciel-en-drome-ardeche-1001804

Dans l'Express, on explore ... les plus folles théories :

Drôme-Ardèche : le mystère des filaments tombés du ciel

Par , publié le 08/11/2013 à  17:45

Des habitants observent depuis jeudi de mystérieux fils voletant dans le ciel. Pollution, toiles d'araignées, traces d'ovnis? Les plus folles théories circulent. L'Express les explore. 


Drôme-Ardèche: le mystère des filaments tombés du ciel
La Une du Dauphiné Libéré.
Dauphiné Libéré
L'affaire semble tout droit sortie d'un épisode d'X-Files. De mystérieux filaments blancs tombants du ciel, les pompiers recevant des appels inquiets... Des habitants de la Drôme et de l'Ardèche observent depuis jeudi dans la matinée un mystérieux phénomène: de grands fils blancs repérés dans les deux départements, rapportent les médias locaux. 
Toiles d'araignées, nouvelle forme de pollution et pour certains, trace du passage d'ovnis: il est pour l'heure impossible d'établir avec certitude la nature de cette matière retrouvée accrochée aux arbres ou flottant dans l'air.  
Ces fils sont-ils dangereux? La préfecture de la Drôme, tout aussi perplexe devant le phénomène, ne semble pas inquiète et n'a pas demandé d'analyses. Contrairement à quelques particuliers, qui ont confié des échantillons à des laboratoires. Le Dauphiné Libéréqui, comme les pompiers, a reçu de nombreux appels pour signaler ces filaments, s'est interrogé sur leur radioactivité. La Criirad, autorité compétente sur le sujet, a aussitôt écarté cette piste. 

La théorie des "chemtails"

Sur le site Internet du quotidien, les internautes mènent l'enquête et avancent les théories les plus diverses. Première trouvaille: des phénomènes comparables ont déjà été rapportés. Il pourrait s'agir de "filaments aéroportés" ou "chemtrails", résultant, selon des théories rejetées par la communauté scientifique, de pollution aérienne ou de pulvérisations clandestines de produits chimiques dans l'atmosphère pour... lutter contre le réchauffement climatique. Des thèses qui fleurent bon la théorie du complot, relayées par des sites douteux. 
Ah, c'est sérieux finalement cette histoire? 
Un rapport sur les "filaments aéroportés" daté d'octobre, émanant d'un "Centre indépendant d'investigations et d'expertises en chimie organique", affirme ainsi que des fils analysés fin 2012 contiennent des composés toxiques qui "pourraient résulter de la recombinaison de substances rejetées en haute altitude dans l'atmosphère par les réacteurs d'aviation".  
Le laboratoire en question, "personne n'en a jamais entendu parler", reconnaît lui-même son fondateur, Bernard Taillez. "Les gens me font confiance ou pas", lance l'homme de 71 ans, qui a investi toutes ses économies dans un "chromato-spectro de masse", assure qu'il ne croyait pas à la théorie des "chemtrails". Jusqu'à ce l'Acseipica(*) qu'il considérait comme "une association de farlelus" lui demande d'analyser ces mystérieux filaments. Là, l'hypothèse a pris "de l'épaisseur" , assure-t-il. 
Interpellé par cette même association, le député PS Gérard Baptavait mis sur la table la question des "chemtrails" à l'Assemblée l'an dernier. Contacté ce jeudi par L'Express à ce sujet, il a semblé surpris: "Ah, c'est sérieux finalement cette histoire?" 

Des traces du passage d'ovnis

Avant le mystérieux épisode de jeudi, on trouvait déjà sur le Web des internautes catégoriques: ces filaments, ce seraient des "cheveux d'ange", des traces du passage d'ovnis... 
France Bleu Drôme Ardèche, plus pragmatique, avance la thèse des "fils de dispersion" des araignées. "Des espèces de petites araignées fabriquent ces filaments puis attendent, accrochées au bout, que le vent les fassent s'envoler, explique la radio sur son site. C'est le moyen de coloniser d'autres milieux".  
Une aubaine pour des complotistes arachnophobes craignant une invasion de mygales venues de l'espace? Et si la vérité était ailleurs? 
Pour comprendre regardez cette vidéo et informez vous :
(*) Association Citoyenne pour le Suivi, l'Etude et l'Information sur les Programmes d'Interventions Climatiques et Atmosphériques  
Patrice ALBERT


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mardi 22 octobre 2013

Gaudin "assure" à la mairie : il dort !

Mennucci : "A Marseille, Gaudin passe son temps à dormir"

Le député PS et vainqueur de la primaire citoyenne à Marseille avec 57,16 % des voix face à Samia Ghali n'est pas tendre avec son (sans doute) futur adversaire à la mairie de Marseille, Jean-Claude Gaudin, sénateur-maire UMP depuis 18 ans."A Marseille, Gaudin passe son temps à dormir. Et quand il ne dort pas, il est au Sénat. Jean-Claude Gaudin n'est plus à Marseille. C'est quelqu'un qui a abandonné le rôle de maire." 


France - Actualités - Mennucci : A Marseille, Gaudin passe son temps à dormir
Patrick Mennucci : "A Marseille, Gaudin passe son temps à dormir. Et quand il ne dort pas, il est au Sénat. Jean-Claude Gaudin n'est plus à Marseille. C'est quelqu'un qui a abandonné le rôle de maire."
PHOTO FRÉDÉRIC SPEICH