mardi 23 juin 2020

Crise de l’Hôpital : sortir du carcan !

Hôpital, les soignants et les infirmières, également au pied du mur !

Il est très juste de dénoncer l’incohérence et l'ingratitude de nos gouvernants après la crise du covid, mais plus encore leur corruption et collusion avec l’industrie pharmaceutique ! 
La meilleure grille de lecture des décisions de nos ministres et président...

Les soignants doivent porter des solutions novatrices, pour sortir de la crise.

Les soignants doivent aussi participer à la reconstruction d'un meilleur système de soin ; que les soignants cessent d'abord de se présenter aujourd'hui dans la rue avec des masques, s'ils veulent garder leur crédibilité et être entendus ! Car ainsi on entretient artificiellement la peur alors que l’épidémie se termine.

Un contexte anxiogène favorable pour ceux qui veulent coûte que coûte, nous fourguer le vaccin de Bill G. et compagnie, qui poursuit des objectifs de contrôle (traçage numérique) et non de santé des populations ! Je vous déconseille cette vaccination, dont la seule liste des ingrédients devrait vous dissuader ....


On peut défendre l'hôpital sans masque !

Les soignants avec les responsables publics doivent reconsidérer la sur-administration de l’hôpital français et la bureaucratisation excessive des services de soins (environ +50% par rapport à d'autres pays comparables) qui grèvent les ressources ; elles constituent des marges potentielles pour de meilleurs salaires à coût égal, et plus de moyens pour les malades.

Alors sortons du toujours plus de budgets pour l’hôpital des bureaucrates et des syndicalistes, et du toujours moins des technocrates du pouvoir. La double face d'une même pièce ..

Il faut tout reconsidérer avec le malade et le citoyen au centre des préoccupations de soin et d'organisation,


Un statut privé ou de fondation à but non lucratif ( ex : groupe hospitalier Saint-Joseph à Paris), avec obligation de service public, pourrait constituer le début d'une solution pour de nombreux hôpitaux .

Cette organisation a déjà fait ses preuves en France, elle doit être etendue plus largement. A effectif égal, on constate plus de personnes, de soignants, au contact des malades que dans un hôpital à statut classique, public (fonctionnaire).

Malheureusement les établissements de santé privés d'intérêt collectif demeurent les grands oubliés du plan d'urgence pour l'hôpital et semblent invisibles aux yeux des pouvoirs publics. 
Ils subissent même des baisses de tarifs, environ deux et trois fois supérieures à celles des hôpitaux publics et cliniques privées (décret de 2018). Ils comptent pourtant parmi les hôpitaux les plus reconnus dans le monde. Qui s'en soucient ?

Les soignants auraient aussi tout intérêt 
 à soutenir ces établissements et pousser ce modèle, pour permettre des organisations plus souples, plus humaines et moins dispendieuses.

C'est le cadre le plus favorable pour une hausse légitime des rémunérations des soignants.

D'autres solutions restent à inventer, pour cela il faudra secouer la longue tradition autoritaire des systèmes de soins conventionnels.


Patrice ALBERT

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