mercredi 29 décembre 2021

Comprendre le mythe Pasteur, notre conditionnement collectif ...



Pasteur, héros de la science française

Ce tableau à la gloire de la science, valeur fondamentale de la III
e République, a valu au peintre finlandais la reconnaissance de l’État français (Edelfelt sera fait chevalier de la Légion d’honneur en 1889)

Pasteur, dans une illumination symbolisée par la lumière qui frappe le flacon stérile, invente le vaccin contre la rage.

Le mythe est construit, et frappe l’imaginaire dès le plus jeune âge !

Pour des raisons politiques, culturelles ou affairistes, l’histoire a souvent abusé de la crédulité confiante et perméable des enfants ; lorsque plus tard ils deviennent parents, ils transmettent en toute bonne conscience leur formatage dans la tête de leurs progénitures...


Petite histoire vaccinale : 

comment tout cela a commencé … 

Nous savons tous que Louis Pasteur, le Saint Homme, en fut à l'origine 


L'épopée de la vaccination commence comme une belle histoire…


Le 4 juillet 1885, dans un petit village alsacien, le petit Joseph Meister, 9 ans, est sur le chemin de l’école lorsqu’il croise le chien de l’épicier qui l’attaque et le mord à de multiples reprises. Le canidé est immédiatement abattu par les gendarmes.

Craignant de voir le petit Joseph contracter la rage, ses parents le conduisent à Paris voir un certain Louis Pasteur, qui lui inocule deux jours plus tard son vaccin antirabique. Le premier essai vaccinal sur l’homme entre dans l’histoire.

Le petit Joseph ne développera jamais la rage.

 Très vite, la nouvelle se répand comme une traînée de poudre et 350  vaccinations antirabiques ont lieu dans l’année. La portée médiatique de ce nouveau vaccin est telle que les financements affluent. Notre découvreur peut ainsi créer le fameux Institut Pasteur. 

Ce centre privé sera plus tard associé à Sanofi, l’un des cinq plus grands laboratoires pharmaceutiques mondiaux, renommé ensuite « Sanofi Pasteur ». Zones d’ombre autour du mythe : Un premier élément peut nous surprendre dans cette histoire devenue mythe : l’usage du vaccin en curatif et non en préventif. 

En raison de la durée d’incubation importante de ce virus, qui laisse la possibilité à l’immunité de se développer après vaccination, la rage est la seule maladie infectieuse qui peut être traitée grâce à un vaccin. 

Toute l’histoire du premier vaccin repose donc sur… une exception médicale ?!! 

La relecture des communications de l’époque à l’Académie des sciences et, surtout, des notes de Pasteur publiées a posteriori laisse songeur…


 Dans les annales, on découvre plusieurs zones d’ombre et de flagrantes omissions. Le chien qui a mordu le petit Joseph était-il enragé  ? On ne le saura jamais puisqu’il a été abattu sans examen. Une procédure fiable permettait pourtant de le déterminer facilement à l’époque : prélever la moelle infectée et d'inoculer à un autre animal lui aurait fait immanquablement développer la rage. On ne le fit pas, ni pour Joseph Meister ni pour pratiquement aucun des cas que Pasteur a vaccinés. 

Même si certains autres cas furent positifs, ils ne prouvent en aucun cas l’efficacité du vaccin, seulement que le chien était enragé. Autre interrogation : le petit Joseph Meister aurait-il contracté la rage si le chien avait été enragé  ? 

Pas si sûr, car la rage est une maladie rare qui ne se déclare pas toujours après morsure. Et elle n’est mortelle que dans 10 % des cas, lorsque l’animal mordeur est contaminé . 

Ces premiers éléments laissent planer un doute, n’est-ce pas  ? Mais «  la vaccination, ça ne se discute pas  !  » lançait en 2015 la ministre de la Santé Marisol Touraine

Cette affirmation abracadabrante illustre parfaitement le caractère hagiographique de Pasteur de ses travaux : personne, pas même les scientifiques, ne doit critiquer le Saint-Homme, qui plus est l’effigie du fleuron pharmaceutique français Sanofi. 

Considéré comme le fondateur de la vaccination humaine, Pasteur représente dans l’imaginaire collectif la caution scientifique historique de la vaccination.

 Et pourtant… Rage ou Covid, quand les chiffres sentent l’arnaque ...

Une bataille de chiffres avait déjà commencé à l’époque. Certains détracteurs faisaient remarquer à Pasteur que le nombre de cas supposément traités par le vaccin permettait de déduire que les cas de rage avaient été multipliés par cinq.

 Voici ce qu’en disait le Professeur Peter, de l’Académie de médecine en 1885 : 

« J’ai vu deux cas en trente cinq ans de pratique hospitalière et civile, et tous mes collègues des hôpitaux, de la ville comme de la campagne, comptent par unité, et non par dizaines (encore moins par centaines), les cas de rage humaine qu’ils ont observés. Pour amplifier les bienfaits de sa méthode, et pour en masquer les insuccès, M. Pasteur a intérêt à faire croire plus forte la mortalité annuelle par la rage en France. 

Mais ce ne sont pas les intérêts de la vérité. Veut-on savoir, par exemple, combien en vingt-cinq ans il est mort d’individus de la rage à Dunkerque ? Il en est mort : un… Et veut-on savoir combien il en est mort dans cette ville en un an, depuis l’application de la méthode pasteurienne ? Il en est mort : un. » 

C’est une technique classique pour ceux qui veulent faire basculer les résultats d’une étude en leur faveur : jouer sur les critères qui définissent l’état de maladie permet de modifier les résultats d’une étude. 

C’est ce qui a été fait pour bon nombre d’études scientifiques sur les vaccins anti Covid : chez les non-vaccinés on a souvent omis de rechercher si les individus qui présentent des signes de virose sont effectivement touchés par la Covid-19 et non par un autre virus. Pourtant, toute virose n’est pas un Covid  ! Mais en les affichant comme tels, on gonfle artificiellement l’efficacité du vaccin, par exemple une étude parue en mars 2021 dans The Lancet . 

Dès le commencement de l’histoire vaccinale, les dés étaient donc pipés. 

La portée médiatique en 1886 était telle qu’elle a permis à Pasteur de récolter plus de 2,5 millions de francs pour fonder son célèbre institut. Il fallait donc que le vaccin fonctionne, à tout prix. !

Déjà une histoire de gros sous ! Déjà le rôle sulfureux des médias !

Et si Pasteur rimait plus avec imposteur, que sauveur ?

Les mensonges d'hier ont préparé les esprits à ceux d'aujourd'hui ...

Dans une certaine mesure, l’histoire bafouille, mais les “vaccins” génétiques actuels à ARNm et à adénovirus ont aussi toute leur singularité …


source  SolutionsNaturopathie


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